d'après un philosophe français
'dans 'toutes les larmes coulent',
ce qui compte ce n'est pas qu'elles coulent,
c'est les coulées et les singularités de ces glissades le long de joues rougies
par le sel récurant une peau douce ou
se faufilant
à travers les poils de barbe
d'un homme mal rasé.
Quels détours une larme prend-elle
dans son voyage au bord d'un menton
avant une chute dans le vide jusqu'à terre?'
ô larmes scintillantes de tristesses
de joies, de ces fluctuations de puissances,
quels sont vos passages?
